1925 : écrémeuses Baltic
Qui dit écrémeuse dit lait.
Les diverses substances qu’ingurgite une vache se retrouvent dans le lait. Le lait prend l’odeur spéciale des plantes alliacées, des crucifères, de l’ail, de l’oignon, des labiées, la saveur du chou, l’amertume de l’absinthe, de la paille d’orge, des feuilles de châtaignier.
(labiées Mentha Piperita)
Le genre d’alimentation modifie aussi la proportion des diverses substances qui constituent le lait.
La richesse du lait en matières grasses augmente avec l’abondance de la sécrétion lactée. Au contraire le sucre, la caséine et les sels diminuent avec la quantité de lait sécrétée.
La proportion de beurre augmente pendant la durée d’une même traite à mesure que l’on prolonge celle-ci.
(pot de lait)
La race Normande présente de remarquables qualités laitières. A l’époque les meilleurs vaches sont capables de produire 30 à 40 litres de lait par jour avec une grande qualité beurrière.