Archive pour la catégorie 'Miscellanees'

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Publié dans:Miscellanees |on 8 février, 2015 |2 Commentaires »

1925 : François Salvador

1925 : François Salvador

(extrait du journal « Ouest-Eclair » du 22 janvier 1925)

En ce 21 janvier 1925, à Nancy, la veuve a fait son oeuvre. Accusé de deux meurtres François Salvador est mort à 6h15.

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A l’âge de 18 ans, en 1914, François Salvador s’engage au 5ème Régiment d’Artillerie de Campagne basé à Besançon. Il sert dans une batterie de mortiers de tranchées.

Décoré de la croix de guerre pour haut fait il fera une formation d’artificier, puis sera nommé chef artificier en 1919.

A Chambley il dirige dans cette Meuse truffée d’explosifs une équipe de trois hommes, Casimir Dolavelle, Pierre et Louis Roussel.

A l’occasion d’une soirée bien arrosée il attire Casimir dans un abri à la recherche d’un trésor, l’abat d’un coup de revolver et le dépouille de ses économies qu’il détenait toujours dans son portefeuille (3000 francs). Puis il fait sauter l’abri à la mélinite.

En janvier 1921, dans la région de Pont-à-Mousson, il effectue un travail de reconnaissance avec Jacques Roussel. Il le laisse pénétrer dans un abri rempli d’obus anglais, l’abat d’un coup de revolver, le dépouille de ses économies (5000 francs en bons du Trésor) et fait sauter l’abri.

Le frère de la victime doute des propos de Salvador qui prétend que c’est un accident.

La machine judiciaire ne se mettra en route que quand François Salvador vendra un des bons du Trésor. Des fouilles vont être effectuées et vont permettre de découvrir des douilles du revolver de Francois Salvador.

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Il sera arrêté au Creusot par le commissaire Buffet le 15 février 1923.

Malgré sa conduite exemplaire durant la guerre de 14-18 les jurés vont condamner François Salvador à mort.

Son recours en grâce sera refusé par Gaston Doumergue.

Publié dans:Miscellanees |on 27 janvier, 2015 |1 Commentaire »

1925 : humour

1925 : humour

(extrait du journal « Le Percheron », 1911)

Publié dans:Miscellanees |on 18 janvier, 2015 |1 Commentaire »

1925 : voeux

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(extrait du journal « l’Ouest Eclair » du 1er janvier 1925)

Publié dans:Miscellanees |on 1 janvier, 2015 |1 Commentaire »

1924 : repas de réveillon

1924 : repas de réveillon

(extrait du journal « Le Figaro » du 31 décembre 1924)

Publié dans:Miscellanees |on 31 décembre, 2014 |1 Commentaire »

1924 : publicité savon Lux 1924

1924 : publicité savon Lux 1924

(Extrait « Le Journal » du  20 décembre 1924)

Publié dans:Miscellanees |on 26 décembre, 2014 |1 Commentaire »

1924 : Noël

1924 : Noël

 (Extrait du journal « Le Petit Parisien » du 25 décembre 1924)

Publié dans:Miscellanees |on 25 décembre, 2014 |Pas de commentaires »

1924 : jeux de mots

Tous ces jeux de mots sont extraits du « Petit Journal Illustré » du 19 octobre 1924.

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Solution:

coursier

sourcier

croiseur

croisure

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Un  logogriphe est une énigme où l’on donne à deviner un mot à partir d’un autre, composé des mêmes lettres.

Solution:

argumentation

augmentation

Publié dans:Miscellanees |on 24 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

1924 : Haarmann, le boucher de Hanovre

1924 : Haarmann, le boucher de Hanovre

(extrait du journal le « Petit Parisien »)

Né le 25 octobre 1879 Friedrich, dit FritzHaarmann était le 6ème enfant d’une famille pauvre de Hanovre. Après un cursus scolaire et un apprentissage en SERRURERIE1924 : Haarmann, le boucher de Hanovre dans Miscellanees arrow-10x10 interrompu il est inscrit à 16 ans à une école de sous-officiers dont il sera exclu suite à des signes de troubles mentaux.

Il fut interné à l’hospice de Hildesheim suite à des « comportements impudiques » (homosexualité) sur les enfants de son voisinage. Il sera alors diagnostiqué pour « débilité congénitale incurable« . Il s’échappera de l’hospice à plusieurs reprises.

Au terme d’une fuite vers la Suisse et d’un retour sur Hanovre la police lui décerne étrangement un certificat d’intégrité.

Après la première guerre mondiale la vie est très difficile en Allemagne, une vraie débâcle politique et sociale. La misère atteint toutes les classes de la société. Une simple miche de pain coûte plusieurs milliards de reichsmarks.

Avec son statut d’indicateur de la police il va, nuit après nuit, attirer des jeunes hommes isolés à son domicile, leur proposant un lit et de la nourriture, puis les violer et enfin les tuer.

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(extrait de la bande dessinée »Haarmann, le boucher de Hanovre » d’Isabel Kreitz et Peer Meter (2011))

Après la découverte dans la Leine de centaines d’os, ainsi que des dizaines de plaintes déposées contre Haarmann et une accusation pour « fornication contre nature« , il sera arrêté le 23 juin 1924.

Le procés débutera le 4 décembre 1924 dans une salle comble où plus de 178 journalistes auraient aimé entrer. Seulement 25 eurent une accréditation. Le succés du procès imposa de vendre des cartes d’entrée valables pour une heure seulement.

Les accusés:

Fritz Haarmann parait avoir trente ans à peine, avec un regard timide, une lippe lourde et charnue.

Hans Grans, ami et confident de Fritz, parait plus jeune encore, d’aspect plus débile. Il ne laisse aucun doute sur son essence crapuleuse. C ‘est lui qui a la tête d’un assassin, tandis que son maître ne fait penser qu’à un gros garçon sans malice.

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Haarmann reconnaît 16 assassinats alors qu’il est accusé d’en avoir commis 27 et que l’accusation le suspecte d’en avoir commis plus de 52.

Le professeur Schultz, psychiatre, après avoir observé l’accusé pendant 6 semaines le déclare, malgré sa nervosité extrême, responsable de ses actes d’un point de vue pénal.

Son mode opératoire était toujours le même, il mordait à la gorge ses victimes et serrait de toute la force de sa mâchoire. Il ne découpait les corps qu’une fois refroidis. Les pauvres hardes étaient vendus à la femme Engel, sa voisine.

A la question: « Qu’avez-vous fait des cadavres? » Haarmann répond d’une voix nasillarde, indistincte et monotone: « Je découpais les corps, je faisais des paquets avec les gros os, je les jetais les uns après les autres dans la Leine par la fenêtre ».

Il hachait, découpait la viande et la répartissait dans des boites puis vendait celles-ci en contrebande.

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(extrait de la bande dessinée »Haarmann, le boucher de Hanovre » d’Isabel Kreitz et Peer Meter (2011))

Dans le prétoire le Président fait exhiber les pièces  à conviction présentées par l’accusation:

le lit de camp qui meublait la chambre de la rue Neuve, le hachoir à viande, le COUTEAU DE CUISINEarrow-10x10 dans Miscellaneesune photographie et un veston de l’écolier Fritz Rothe, tué en septembre 1918, la casquette conique de l’élève Ernest Ehrenberg, une paire de bretelle et un gilet du commis Henri Satruss, le pantalon et la besace du SERRURIERarrow-10x10 Ernest Spicker, mort en janvier 1924.

Le verdict de culpabilité fut rendu le 19 décembre 1924, le condamnant 24 fois à la peine de mort. La sentence fut exécutée (une seule fois!)  le 15 avril 1925 à Hanovre.

En plus de « M le Maudit » (1931) de Fritz Lang, en partie inspiré de ses crimes, deux films lui furent directement consacrés: « La Tendresse des Loups » (1973) de Ulli Lommel et « L’Homme de la Mort » (1995) de Romuald Karmakar.

Publié dans:Miscellanees |on 25 octobre, 2014 |1 Commentaire »

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(« Véloce Sport » de novembre 1897)

Publié dans:Miscellanees |on 5 octobre, 2014 |7 Commentaires »
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