1925 : publicité Cadum
(extrait du journal « l’Ouest-Eclair » du 24 avril 1925)
(extrait du journal « l’Ouest-Eclair » du 27 avril 1925)

(extrait du journal « l’Ouest-Eclair » du 24 avril 1925)
(extrait du journal « l’Ouest-Eclair » du 27 avril 1925)
(extrait du journal « L’Ouest-Eclair » du 11 avril 1925)
Dès 1888 cette race est décrite dans divers traités de zootechnie. Cette variété tire son nom de la ville de Craon dans la Mayenne.
Les animaux ont la tête petite avec un groin court et large. Leur peau est fine et transparente avec une soie courte et peu abondante.
L’oreille large doit être bien cassée et plaquée latéralement de façon à laisser libre l’oeil.
La queue est relativement longue, déroulée avec un fort bouquet de soies terminales
La côte est ronde avec un dos long et droit. Les truies peuvent mesurer jusqu’à 2,09 mètres du groin à la naissance de la queue.
Sa taille à l’épaule ne dépasse pas 90 cm avec des membres courts et une poitrine large et profonde.
(extrait du livre « Hygiène et santé » de E.Caustier, 1904)
L’espèce est rustique, vigoureuse et d’une grande précocité. Les truies sont fécondes et mettent au monde 10 à 12 petits par portée.
Alimenté dans des conditions ordinaires le porc craonnais pèse en moyenne à 6 mois 70 kg et 200 kg entre 16 et 18 mois.
Il donne beaucoup de chair proportionnellement au lard et sa chair est très prisée en charcuterie.
En 1958 la race craonnaise a fusionnée avec le porc normand pour donner le porc blanc de l’Ouest. Suite à cette fusion la race a disparu.
(porc blanc de l’Ouest)
(extrait du journal « L’Ouest-Eclair » du 11 avril 1925)
(extrait du journal « Le Petit Parisien » du 12 avril 1925)
(extrait du journal « L’Ouest-Eclair » du 3 février 1925)
Longtemps considérées comme nuisibles les taupes étaient chassées pour la douceur de leur peau. Et pourtant elles ameublissent les sols, permettent la fertilisation des couches plus profondes et, surtout, sont les prédateurs de larves nuisibles pour le jardin telles que, limaces, vers blancs de hanneton…
Vers 1880 un médecin préconisait d’enserrer la tête des jeunes enfants d’un bonnet fait de peau de taupe non tannée pour faciliter la pousse des dents.
La mécanisation des secteurs agricoles dans les années 20 fait que les taupinières cassent les lames des faucheuses. Les taupes deviennent alors l’ennemi.
En Normandie une peau de taupe équivalait en 1925 au prix de deux kilos de beurre.
Un manteau nécessitait de 200 à 1000 peaux.
La moleskine vient du terme anglais mole skin, c’est-à-dire peau de taupe.
(pièges à taupes, extrait du « Tarif-Album » de 1910)
(extrait du journal « l’Ouest-Eclair » du 25 fevrier 1925)
Voilà une raquette dont le succès sur les pistes de danse aura été plus court que celui de l’autre sur les courts de tennis…