1925 : aiguille de machine à coudre
(document original)
Lucien achète à l’entreprise Blanda une grosse aiguille pour machine à coudre à 23,50 francs.
L’aiguille est serrée par une vis dans un porte- aiguille qui coulisse et se déplace alternativement de façon verticale. L’aiguille pénètre dans le tissu, entraîne le fil passé dans le chas, lequel est placé près de la pointe. Un pied de biche, que l’on remonte, appuie le tissu contre la plaque d’aiguille et la maintient. Une griffe, placée sous cette plaque, entraîne l’étoffe au fur et à mesure du travail.
Le fil de dessous est enroulé sur une bobine métallique placée dans une navette, de façon qu’il passe à travers une boucle formée par le fil du dessus. Au moment où l’aiguille remonte celle-ci serre le point et entraîne le fil.
A partir de 1922 dans les écoles les jeunes filles, en plus des exercices scolaires proprement dits, ont aussi des cours de travail manuel, de couture et de coupe.
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Le fonctionnement et les règlages étaient assez « pointus »
Dernière publication sur le radeau du radotage : Bravo, la France!
bonsoir,
l’enfilage de la machine est restée à peu près pareil.
J’ai bénéficié à mon époque, de ces cours de coutures, où l’on confectionnait une brassière pour bébé, une chemise pour enfant, ou une jupe droite pour dame, nous avions aussi des cours d’enseignement ménager, où l’on apprenait la cuisine, le lavage des vêtements, et le repassage . Ma fille n’a pas eu cette chance, à la place elle devait fabriquer un tabouret : je n’ai rien contre le bricolage, mais la couture et la cuisine étaient plus adaptées à une vie de femme.
Pour l’enfilage de l’aiguille de la machine à coudre il est rest& à peu de chose près identique .
Je te souhaite une bonne soirée Babeth,
Amicalement
Nicole Oliver/coline