1921 : le guidon
(document original)
Le guidon sert à orienter la roue avant et par la même à contrôler la trajectoire. Il est placé en haut de la fourche du vélo et au-dessus de la colonne de direction. Il comprend la traverse raccordée avec le plongeur par la douille. La traverse est montée d’équerre avec le tube plongeur. Elle est cintrée à une forme variable suivant les modes et les constructeurs.
Le guidon peut être:
droit: C, abaissé: D, demi relevé: B ou relevé: A.
(extrait du magazine La Pédale 1923)
La traverse, au départ en bois puis en fer et enfin en aluminium, porte à chaque extrémité une poignée collée à froid ou à chaud en celluloïd, liège, bois ou toute autre matière.
(publicité issue du Véloce Sport de 1897)
Dans le dictionnaire humoristique du cycliste de 1923 le guidon était défini ainsi:
« le guidon est un certificat de bonne conduite que l’on tient entre les mains pour montrer à tout le monde qu’on s’… conduit bien. »
Le positionnement du guidon a une grande importance sur le confort à vélo et la capacité à rouler longtemps. Son mauvais positionnement peut provoquer des lésions au niveau du dos ou des poignets.
(image du net: guidon de vélo Hirondelle 1920)
Lucien en tant que réparateur de vélo achetait des pièces détachées à différents fournisseurs. Chodorowicz, Salles et Cie était un de ces fournisseurs. 6 guidons de vélo pour 79,55 francs soit 82,33 euros.
(document original)
