1920 : le contrôle du commerce
(document original)
Ouvrir un commerce n’est pas chose facile. Lucien doit gérer un stock, réparer et vendre vélos, motos, écrêmeuses, machines à coudre. Il doit aussi remplir de façon adaptée le registre pour l’inscription des ventes et objets de luxe, le livre journal des comptes paraphé par le tribunal du commerce à Flers en Aout 1920, son registre comptable signé par le maire de Domfront.
Pour tout cela Lucien va se faire aider par une société, le contrôle français du commerce qui vérifiera ses livres de compte et ses feuilles de contribution. La cotisation à cette société était de 26 francs pour l’année.
Cette société c’est un peu nos cabinets d’expert comptable de maintenant.
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